Si le titre est en partie inspiré d’une des citations les plus connues de la célèbre pièce de Musset, tout commence le jour où Sylvain Riéjou découvre Dirty Dancing, le film culte d’Emile Ardolino.
Ce projet questionne la place de la danse dans les rencontres amoureuses et plus généralement, le rapport au corps dans les rencontres sensuelles. Avec intelligence et délicatesse, le chorégraphe fait passer le message : l’amour n’a pas de genre, pas de sexe, Il est tout simplement universel.
Cette pièce débutera en solo mais au fur et à mesure seront convoquées au plateau trois autres danseur.se.s (un homme et deux femmes).
(…) « Attention, ça déménage. Le verbe haut, ni le geste, ni la langue dans leur poche, le chorégraphe sabinois et ses acolytes s’amusent à cœur joie. Passant à la moulinette airs d’opéra, partitions de ballet hyper référencées et autres chansons de variétés françaises cultes, tout en égratignant les grammaires très codées du classique et du contemporain, ils revisitent l’histoire de la danse et réinventent le duo amoureux, cassent les normes et défoncent avec ingéniosité et facétie les carcans. Olivier Frégaville-Gratian d’Amore – L’Œil d’Olivier
(…) Pop, réjouissant et comique, Sylvain Riéjou n’hésite pas à se moquer de lui-même et au passage de la danse contemporaine, avec la ferme intention de la rendre plus accessible. Histoire de ne pas laisser son public dans un coin ! » Le Figaro